Notice: Undefined index: choice in /home/lasecuorpb/www/include/function.inc.php on line 293 Nicolas Wilmouth et Xavier Alphand, Lasécu - Espace d'art contemporain à Lille
ExpositionTerminée
Nicolas Wilmouth et Xavier Alphand
20 mai > 05 juil 06
Vernissage le vendredi 19 mai 2006 à partir de 18 h 30 Deux photographes pour une exposition, deux regards complices sur deux territoires différents et deux façons d'aborder le temps qui passe. L'un, Xavier Alphand, nous parle du mouvement ininterrompu "Au hazard des secondes" et nous invite à nous perdre sur le littoral... "Lost in Belgium". L'autre, Nicolas Wilmouth, a choisi de s'arrêter sur la "Moselle" le pays de sa grand-mère... et de nous faire partager l'obsession de ses "Insomniaques".
Au hasard des secondes
De la ville au littoral en passant par la campagne, ce thème est une invitation au voyage. Un LOMO, une pellicule 24x36, des photos cadencées au rythme d’une errance, d’une échappée belle, d’un mouvement ininterrompu. A l’heure du tout numérique et de la photo retouchée, Xavier Alphand ressort les bobines, trafique ses boîtiers argentiques et bricole des filtres avec du papier bonbon. Son objectif : recréer des univers propres au numérique mais sans manipulation, ni trucage informatique. Le résultat : une part de rêve dans la réalité... à moins que ce ne soit l’inverse. Huit photographies sur les 60 du livre édité à compte d'auteur en 2005 ont été sélectionnées pour être tirées sur des formats de 1,50m x 1,30.
Lost in Belgium
Xavier Alphand poursuit aujourd’hui son voyage entre France et Belgique et travaille actuellement "Lost in Belgium", un projet mené sur le littoral transfrontalier.
Moselle
"… Le baker ne passe plus le mercredi et quand Françoise m’apporte du pain je le mets à la cave dans le congélateur… Demain je vais à Forbach avec Joseph, ils veulent m’acheter un aspirateur pour mon anniversaire, mais pourquoi ils veulent aller au Cora, j’ai vu des promotions chez Aldi de l’autre côté, faut que je retrouve le prospectus." A. Zimmer
Insomniaques
ls rêvent de nuits impossibles où des matelas dociles accepteraient l’horizontale une heure ou plus pour laisser leurs âmes partir en paix et sans valise sur la route du répit. Ils rêvent à des couvertures tendres et des polochons complices pour s’ abandonner au voyage sans filet